J’avais dit que je reprendrais Sigilí en rentrant des États-Unis, une fois que j’aurais acheté un nouvel objectif ; à l’évidence, j’ai menti. Mais je peux tout expliquer. C’est que, sur les derniers jours, j’ai rencontré Stephen, qui présente autant de cicatrices et d’histoires intéressantes associées à celles-ci que j’ai de doigts. Du pain béni pour moi ; alors j’ai tenté d’en faire des photos, alors même que je n’avais pas mon 85mm, mais seulement le 18-135. J’ignore absolument ce que vous en penserez, mais voilà un petit teaser en attendant qu’il vous en raconte les histoires.