Donc, j’étais en train de galérer avec mes couvertures quand Elie Bescont a spontanément proposé de m’aider à prendre la photo que j’avais en tête – sans flou de bougé.
Ainsi, désormais, ceci existe :
C’était étrange, de le finir – dans les temps. Car il y a eu des temps, et ils n’ont pas été franchis. Il me semble que, dans les derniers temps de l’écriture d’une histoire, je vole au-dessus de l’eau : je sais enfin où je vais, et comment j’y vais. Alors que dans les premiers temps, je renâcle, je procrastine, je me distrais, je fais comme suit :
• Writing process:
— Florence Rivières 🦊 (@rivieresflo) August 17, 2019
Sit down. Write every day.
• Finding a new story to write process:
A lot of switching tasks, snapping fingers, changing the music, ordering coffee and nervously passing my fingers in my hair like it’s gonna heat my brain up every 4 mn.#writer #writerslife
Mais ceci est, déjà, une autre histoire sur le point d’arriver. Parlons de The Yggdrasil Network. Oui, je donne encore et toujours des titres anglais à des textes écrits en français ; estimez-vous heureux, vous avez échappé au titre de travail qui était Stalk-Story.
Mais si Stalk-Story est une comédie musicale, ou à la limite le projet de court-métrage qui a donné naissance à ce livre, alors que The Yggdrasil Network est mon second roman – bien que je ne sache pas encore comment se termine le premier. Il parle de surveillance, de hackeurs, du capitalisme, de mutants, de sorcières et de fantômes. Il parle surtout d’une émotion que j’espère secrètement que vous identifierez.
Pour le lire, vous pouvez :
– Rendre visite à mon Tipeee, sur lequel le roman sera publié au rythme d’un chapitre par jour à partir d’hier.
– L’acheter en Kindle.
– L’acheter en édition print.
Il est possible que j’aie commencé à écrire la suite. Sous une forme, une autre, ou les deux. D’ailleurs, TYN est déjà un peu une suite de Burn-Out. Nous verrons ce qui arrive à ce monde, ce que j’en ferai et ce qu’il fera de moi.
Et de vous.