Oui, alors, je passe la quasi-totalité de mon temps libre sur Le Premier Roman, et je vous raconterais bien ce que ça fait, mais ce serait à la fois moins de temps passé sur le texte susdit, et aussi quelque chose qu’on n’aime pas trop sur les Internets.
Dans les interstices ouverts par ce « quasi » cependant, il m’arrive de passer la tête dans l’entrebâillement d’une porte ou une autre – ici, celle de la chaîne du Tropeur qui m’a confié un doublage dans son dernier épisode. Et quelques petites choses encore. Vous verrez.