On s’est retrouvés une fois de plus, Dedalus et moi, dans notre entreprise de libération commune.
On avait prévu de se voir pour faire des photos et à un moment de la conversation je me suis retrouvée en train de lui envoyer des photos de mes poils dans la plus grande des normalités, histoire qu’il soit content.
On est comme ça. On est fous.
Et c’est bon d’être fou.