Il se peut que j’aie pris mon salon dans le mauvais sens tout ce temps et qu’il soit plus intéressant d’en libérer la largeur plutôt que la longueur.
Je n’en sais trop rien mais aujourd’hui j’ai eu envie d’utiliser mes fenêtres et de remettre cette petite robe après une marche nocturne sous des nuages marbrés. J’avais les cheveux encore humides, mais ce n’était pas grave.
Ou je ne sais pas.
Coucou Sirithil ! Fragile et belle, voici les mots qui me viennent quand je regarde ces photos.
Poème du marchombre :
Fragile tempête,
Belle innocence,
Pureté.
Bien à toi.
Seren
Oh! … Ton compliment me fait d’autant plus plaisir que j’ai beaucoup lu Bottero quand j’étais plus jeune 🙂 Merci.
Ça restera une de mes histoires favorites, les marchombres !
Par contre ce poème n’est pas tiré du livre mais de mon imaginaire.
Au plaisir