J’écris cet article des mois et des mois après la prise de vues, parce que Coline Sentenac a mis du temps à choisir son traitement. Ce n’étaient censés être que des tests pour la partie pratique de son mémoire, et puis, comme à chaque fois que nous faisons « des tests pour rire », things escalated quickly.
D’un autre côté, la presque demi-vie qui est passée depuis me permet d’avoir un regard particulier sur ces images, et surtout de vous le livrer plus sincèrement, même si j’antidate toujours les articles au jour de la prise de vues.
J’avais eu mal ce jour-là, très mal, et impudiquement, j’avais laissé Coline l’immortaliser, alors que les rayons du soleil et l’exercice cent fois répété me faisaient regagner mon propre corps.
Posez. C’est bon pour la santé.